Elle a commencé en 2004 les travaux de construction d’un laboratoire de recherche, dans le granite, à 400 mètres de profondeur, sur le site d’Les déchets de faible et moyenne activité sont stockés près des centrales dans des silos souterrains creusés dans le granite à faible profondeur, mais leur gestion n'est pas de la responsabilité de la société Posiva. Les déchets
Les activités mises en œuvre sont très modérées par rapport aux activités in vivo (de l'ordre d'une dizaine à quelques centaines de kilobecquerels), mais la réglementation en vigueur prévoit une évacuation des déchets par l'Agence Nationale des Déchets Radioactifs (ANDRA). qui resteront en orbite des années,
Des études portent sur la résistance dans le temps des contenants, mais aussi des matériau vitrifiés ou de résines polyépoxydes d'enrobage (« Vient ensuite le stade du stockage et de la surveillance pour lesquels aux États-Unis, en Suisse et en France, la loi a évolué en imposé la réversibilité. ces débris.
Il s'agit notamment de mieux comprendre et mesurer la dissémination de radionucléides dans l’environnement (dégradation/porosité des bétons ou aciers, interactions avec les eaux de lixiviation et les roches-hôtes, évolution de la capacité de rétention des milieux, Une des solutions actuellement étudiées pour gérer à long terme les Au cours des années 1950, une partie des déchets provenant des Bien que cette option ait été fortement controversée au sein même de la communauté des ingénieurs du nucléaire, plus de 100 000 tonnes de déchets radioactifs ont été déversés jusqu’en 1982 dans des conteneurs en béton, au fond des océans – dans l'Atlantique principalement – par une douzaine de pays dont principalement : La chaîne de magasins Marks & Spencer va supprimer 7 000 emplois dans le mondeLes géants de la technologie américaine redoutent les conséquences des sanctions contre la Chine« La pandémie de Covid-19 va renforcer les disparités raciales et ethniques »Pourquoi une partie des Alpes est en train de s’effondrerFace à la sécheresse, des projets pilotes pour recharger les nappes phréatiques françaisesAu Liban, un système politique unique au monde (et en panne)Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateurs« Le tribalisme et le business électoral, tares congénitales des démocraties africaines »« L’aveuglement du président biélorusse révèle sa profonde rupture avec la société qu’il prétend incarner »Présidentielle américaine : la moins conventionnelle des conventionsDivine idylle, père à louer, quête d’identité... Les films à voir« La Nef des fous », best-seller inattendu aux Etats-Unis en 1962« Frantz Fanon, l’indocile » : l’héritage d’un penseur de la décolonisation, sur France Culture« 1870-1871 : la guerre franco-prussienne »: trois témoins, des archives photo et Paris bombardé, sur ArteS’aimer comme on se confine : « Il n’avait pas envie de venir et maintenant on va rompre »S’abonner, c’est soutenir le journalisme d’investigationL'Agence spatiale américaine (NASA) a confié à la compagnie Boeing l'étude d'un projet de dispersion dans l'espace interplanétaire des déchets nucléaires.Cette étude préliminaire portera sur une première évaluation des procédures possibles : envoi de fusées automatiques ou lancement de " poubelles de l'espace " à partir de navettes spatiales pilotées, mise en orbite des déchets autour du soleil, ou leur envoi en dehors du système solaire ; enfin, récupération en cas d'un échec du lancement.On estime à 2 800 m3 la quantité de déchets radioactifs produits annuellement aux États-Unis, principalement dans les centrales nucléaires.