C'est au cours d'une journée bien grise que se sont tenues les obsèques de Raymond Lévy, grand résistant et père de l'écrivain Marc Levy, mort à l'âge de 87 ans. Le tribunal de Saint-Marcellin (Isère) le condamne à un mois de détention, mais il s’échappe, probablement avec la complicité de la Résistance locale très active, et rejoint, environ un mois plus tard, le Vercors-secteur sud, placé sous le commandement de Geyer, Le 15 août 1944, Raymond Lévy est nommé maréchal des logis chef par le commandant Narcisse Geyer, Le 20 octobre 1944, Raymond Lévy fait une demande d’admission à l’Ecole de Cherchell (Algérie) en section Artillerie pour la session de novembre, appuyée par le capitaine Cathala.Raymond Lévy ayant signé un engagement dès son arrivée dans le Vercors pour la durée de la guerre, il se trouve, dans le cadre de l’amalgame, incorporé au 3Le 23 novembre 1944, le capitaine Cathala est blessé à GrosmagnyRaymond Lévy repose auprès de sa famille dans le cimetière israélite de Gundershoffen (Bas-Rhin).Dossier individuel ANPCVV, archives Famille Lévy - Grenoble.Dossier individuel de R. Lévy au Service Historique de la Défense (SHD- site de Vincennes) 16 P 370629.Acte d'engagement pour la durée de la guerre de Raymond Lévy, à compter du 13 août 1943Double d'une lettre adressée par Raymond Lévy au procureur de la République de Saint-Marcellin (Isère), le 5 novembre 1944, soit quelques jours avant sa mortCertificat d'appartenance de Raymond Lévy au 11e régiment de cuirassiers, établi par Gaston Cathala, dit Certificat d'appartenance de Raymond Lévy au 11e régiment de cuirassiers, établi par Gaston Cathala, dit Copie de la lettre annonçant la mort de Raymond Lévy au combat de Grosmagny (Territoire de Belfort) le 24 novembre 1944, rédigée le 29 août 1945Citation posthume de Raymond Lévy comportant l'attribution de la Croix de guerre, avec étoile de vermeil, établie le 6 février 1947Certificat d'appartenance aux FFI de Raymond Lévy, établi le 22 juin 1948Trame historique introductive
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La FX, dont il a été le Président de 1987 à 1994, s’associe à la douleur de sa famille. Décorations L’École polytechnique était pour lui plus qu’une simple formation, presque une famille, au sens figuré comme au sens propre. S’est notamment distingué lors de l’attaque du monastère de l’Esparron, le 3 février 1944.
»Son nom de naissance est « Raymond Haïm Lévy », et le « H. » a été souvent utilisé à l'écrit dans le souci notamment d’éviter la confusion avec des homonymesEntreprise pétrolière publique alors présidée par Paul Albert Moch (X 1927 du La fonction « Production » a pris une tournure différente à la suite de la décision du président algérien L'institut Renault de la Qualité a rapidement vendu ses services à d'autres industriels. Raymond Lévy repose auprès de sa famille dans le cimetière israélite de Gundershoffen (Bas-Rhin). Le maquis du Vercors (fin 1942 - mai 1944)
Fidèle à une identité juive qu'il assumait avec fierté, il ne manquait pas de rappeler son deuxième prénom, Haïm, quand il se présentait sous le nom de Raymond Lévy, ancien PDG de Renault, est mort L’industriel a dirigé le groupe automobile de 1986 à 1992 après avoir été à la tête d’Elf … » quelques panneaux, un petit article dans la presse locale. Raymond Lévy est né le 7 janvier 1920 à Niederbronn-les-Bains (Bas-Rhin).Son père Simon, né en 1878 dans l'Alsace annexée, a épousé une juive allemande en 1905, avant de fonder son entreprise de récupération en 1912.Son frère cadet, Robert, né en 1923, rejoindra les FTP de la Creuse en juin 1944, puis les FFL où il sera engagé pour la durée de la guerre.Elève au cours complémentaire de Niederbronn-les-Bains, Raymond Lévy obtient son brevet élémentaire. Le 12 août 1955, Raymond Lévy a épousé Jacqueline Adèle Schwartz, médecin [7], avec laquelle il eut ensuite trois garçons et une fille [h], tous quatre également anciens élèves de l'École polytechnique [8], suivis par cinq de ses douze petits-enfants [8]. Citations et décorations : « Lévy Raymond, sergent-chef FFI. Famille. Il est président-directeur général (PDG) d'Elf France de 1975 à 1980 et vice-PDG d'Raymond Lévy quitte Elf et l'industrie pétrolière en 1981 pour la présidence de la Compagnie française des aciers spéciaux (groupe Second pilier de la stratégie de Raymond Lévy de transformation du groupe, « l'accord à vivre », avancée sociale majeure initiée chez Dans le même temps, Raymond Lévy s'attache à stabiliser les finances de l'entreprise.