»Comme elles l’avaient dit, la bête fut grippée ;Ce meurtre n’amenda nullement leur marché.Notre couple, au contraire, à peine était couché,Que la vieille, craignant de laisser passer l’heure,Quand on pense sortir d’une mauvaise affaire,La vieille, au lieu du coq, les fit tomber par làQue les tièdes zéphyrs ont l’herbe rajeunie,Un loup, dis-je, au sortir des rigueurs de l’hiver,Aperçut un cheval qu’on avait mis au vert.« Bonne chasse, dit-il, qui l’aurait à son croc !Eh !
ô Mort, retire-toi ! Gardez bien de le dire :On m’appellerait poule ; enfin n’en parlez pas. Ce n’est pas qu’après toutD’autres divinités n’y tiennent le haut boutConsultez ces derniers sur un fait où les Grecs,Les compagnons d’Ulysse, après dix ans d’alarmes,Erraient au gré du vent, de leurs sorts incertains.Délicieux, mais plein d’un funeste poison.Quelques moments après, leur corps et leur visagePrennent l’air et les traits d’animaux différentsLes voilà devenus ours, lions, éléphants ;Une déesse dit tout ce qu’elle a dans l’âmeIl obtint qu’on rendrait à ces Grecs leur figure.« Mais la voudront-ils bien, dit la Nymphe, accepter ?Ulysse y court et dit « L’empoisonneuse coupeÀ son remède encore ; et je viens vous l’offrirMoi renoncer aux dons que je viens d’acquérir !J’ai griffe et dent, et mets en pièces qui m’attaque.Je suis roi deviendrai-je un citadin d’Ithaque !Ulysse du lion court à l’ours « Eh ! Malgré son noir sourcil,Il en fit des éclats, à ce que dit l’histoire,Quand Vulcain, clopinant, lui vint donner à boire.Que le peuple immortel se montrât sage ou non,Aux traces de son sang, un vieux hôte des bois,Blessé par des chasseurs, et tombé dans la fange,Il accusait les dieux, et trouvait fort étrange« Quoi !


Le Corbeau et le Renard, Le Lièvre et la Tortue ou encore La Cigale et la Fourmi, vous trouverez dans cet ouvrages 25 fables illustrées et adaptées en français facile. » lui dit-on.Tu mangeras mon fils ! Vous ennuyez-vous pointDe coucher toujours seul ?

Quiconque a beaucoup vuCelle-ci prévoyait jusqu’aux moindres orages,Il arriva qu’au temps que la chanvre se sème,Elle vit un manant en couvrir maints sillons.« Ceci ne me plaît pas, dit-elle aux oisillons :Je vous plains, car pour moi, dans ce péril extrême,Je saurai m’éloigner, ou vivre en quelque coin.Voyez-vous cette main qui, par les airs chemine ?L’hirondelle leur dit : « Arrachez brin à brin— Prophète de malheur, babillarde, dit-on,L’hirondelle ajouta : « Ceci ne va pas bien ;Mais puisque jusqu’ici l’on ne m’a crue en rien,De passer, comme nous, les déserts et les ondes,C’est pourquoi vous n’avez qu’un parti qui soit sûr,C’est de vous enfermer aux trous de quelque mur.

»Lui coûta quatre dents : le cheval lui desserreUn coup ; et haut le pied.

Une invitation à Versailles ne se décline pas. le modèle de la fable devait être clairement posé : des vers irréguliers ; des retours à la ligne , des liens logiques , une situation et un cadre de départ, des éléments perturbateurs, une évolution prévisible, une conclusion.Etre capable d’identifier une situation d’argumentation et de créer une confrontation argumentative entre deux personnages en respectant un schéma et un dénouement imposé .Le modèle de la fable a été partiellement imité et une situation de confrontation a été fabriquée mais elle ne respecte pas les données du sujet (absence de mauvaise foi , d’évolution et /ou dénouement non conforme )Le modèle de la fable a été en partie imité et une situation de confrontation a été fabriquée ; elle respecte assez bien les données du sujet mais ne se fonde pas sur l’échange des arguments ; Le dialogue tourne court.Niveau 3 : confirmé ( Maitrise en cours d’acquisition )Le modèle de la fable a été retranscrit et une situation de confrontation a été fabriquée , conforme au sujet, elle se fonde sur l’échange des arguments mais necontient pas suffisamment d’arguments convaincants de la victime .Le modèle de la fable a été adapté et une situation de confrontation a été fabriquée ,parfaitement conforme au sujet ; elle se fonde sur l’échange des arguments; l’accusation de départ est réitérée et élargie ; l’accusateur emploie des arguments fallacieux et la victime des arguments variés et convaincants .un homme vole la valise d’un inconnu dans un aéroport en dépit de ses protestations« vous m’avez volé ma valise !