L’étiquetage du logo européen est obligatoire, et peut être complété du logo français.De même, les noms des variétés de vigne (cépages) peuvent être mentionnés si le produit concerné est issu à 85 % au moins de cette variété. Pour juger de la qualité d’un vin, c’est l’une des informations les plus importantes sur une étiquette avec l’appellation et le millésime.

mise en bouteille par EMB XX XXX France – Distribué par X).La présence de sulfites est obligatoirement mentionnée sur l’étiquette au-delà de 10 mg/litre exprimé en SO2.Ces mentions qui peuvent être accompagnées éventuellement d’un pictogramme informatif européen, doivent figurer sous l’expression « contient, etc. Elles sont payées en général 10 caisses de vin (mais quel vin !

Lisez les étiquettes !Les vins avec IG sont astreints à des conditions de production rigoureuses inscrites dans leurs cahiers des charges.Les boissons alcoolisées (plus de 1,2 % vol.) Elles peuvent être obligatoires ou facultatives. Il en va de même du millésime.D’autres mentions ne sont pas réglementées : le terme « vieilles vignes » par exemple ne dispose d’aucune définition précise. Sous les pavés, 200 millions de bouteilles dorment dans la craie, de l’or en bulles estimé à 4 milliardsLes vins effervescents sont pour la plupart des vins mousseux (le terme officiel) mais peuvent être aussi pétillants ou perlants. Toute étiquette doit faire figurer un certain nombre de mentions obligatoires : le volume, le degré d’alcool, la catégorie du vin (AOP/IGP/VdF), l’embouteilleur, la présence de sulfite et l’avertissement destiné aux femmes enceintes.

La taille des caractères pour le millésime est au moins équivalente à « NOUVEAU». En outre, la méthode de mise en bouteille est aussi une mention obligatoire sur l’étiquette d’une bouteille de vin.

C’est le producteur qui rédige l’étiquette. L’étiquette d'une bouteille de vin est une marque ou une fiche placée sur une bouteille de vin qui rassemble les mentions légales [1] obligatoires et des informations sur le vin. Encore un peu d’efforts et une étiquette de vin se résumera à une litanie de composés chimiques aussi mystérieuse que décourageante.Le nombre de ces mentions étant en hausse permanente, beaucoup de producteurs collent maintenant deux étiquettes sur leur bouteilles, une regroupant toutes les mentions légales, plus éventuellement quelques lignes de description du vin en question, et puis une autre étiquette, sorte de « carte de visite » qui comporte la marque, la cuvée, et éventuellement le millésime et l’appellation.Aussi surprenant que cela puisse paraître, toutes les autres mentions sont facultatives, même si certaines (mais pas toutes) sont réglementées : marque ou domaine, millésime, cépage, lieu de mise en bouteille, labels, nom de cuvée, type d’élevage (élevé en fût), classement…Pour vous donner une idée de la complexité des règles qui régissent ces mentions, la règle générale concernant la mention d’un cépage sur une étiquette impose que seulement 85% du volume du vin dans la bouteille soit issu de la variété mentionnée, mais bon nombre d’appellations imposent 100%. Cette mention est commune à tout produit alimentaire. (Mais d’abord un petit rappel d’actualité sur l’étiquetage des allergènes obligatoire depuis juin 2012L’étiquetage des allergènes est obligatoire depuis le 29 juin 2012. Cependant, elle peut donner une indication certaine de la qualité du vin si le classement est sérieux. Chaque producteur peut également choisir de faire figurer les mentions dans d’autres langues européennes.L’invention en 1797 de la lithographie permettant d’imprimer en grande quantité propulsa l’étiquette moderne. Sur le marché européen, seule la mention « obtenu à partir de raisins issus de l’agriculture biologique » était autorisée sur l’étiquette.L’adoption d’un texte européen sur le vin biologique, le 8 février 2012, est venue combler cette lacune. 3 : Grand Cru classé : cette mention est évidemment facultative. Dès le début du XIXe siècle, l’Allemagne et la Champagne suivies bientôt par le reste du monde vont produire ces petites vignettes de papier qui habillent dorénavant toutes les bouteilles de vin. Si la fiche portée sur la face avant de la bouteille est épurée pour des raisons esthétiques, alors celle ci devient la contre-étiquette et l'étiquette est alors placée au dos de la bouteille. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Les mentions obligatoires vous renseignent également sur la composition du vin, ses caractéristiques particulières et celles du contenant : • L’étiquette précise la contenance de la bouteille en litre (4), en centilitre ou en millilitre. Il faut rappeler que tous les vins en contiennent un peu, car le soufre est naturellement présent dans le raisin ou est produit, en petite quantité, pendant la fermentation, et cela vaut même pour des vins dits « sans soufre ».

Effectivement, vous avez raison de le signaler. Les étiquettes sont restées en général très classiques à l’exception de la célèbre étiquette du château Mouton-Rothschild. Attention, Les mentions obligatoires doivent se retrouver sur une même étiquette, en caractères clairs, lisibles et suffisamment grands pour les différencier des autres mentions (facultatives). Menu L’étiquette du vin : Mentions obligatoires et facultatives Autre mention obligatoire sur l’étiquette du vin : le nom de l’embouteilleur.

).L’Union européenne impose des mentions très précises concernant les étiquettes de vins. Pour obtenir l’appellation « vin », il est nécessaire d’avoir un dosage en alcool compris entre 8,5% et 15%. Elle peut être complétée par des mentions concernant son type ou sa classification particulière.