Après quelques recherches, j’ai été surpris de constater que ce trouble n’était pas repris dans les classifications internationales habituelles telles que le DSM V ou le CID 10. Les patients restent critiques de ces doutes qu’ils savent irrationnels.
Si tel est le cas, c’est que vous êtes sans doute sujet à des phobies d’impulsion que la psychiatrie qualifie de Contrairement à ce que nous pouvons lire sur certains sites ou dans certains ouvrages de vulgarisation, les phobies d’impulsion ne sont pas des Comme pour tous les TOC, la peur de devenir agressif est La phobie d’impulsion se caractérise par la peur de commettre des actes pénalement ou moralement répréhensible. Le sujet du film (la phobie d'impulsion) est introduit par une séquence préambule qui rappelle un cours magistral. C’est généralement la première fois que les personnes expérimentent cette pensée volontairement et perçoivent un moyen de la réguler.
Quant aux propositions de traitement, elles se résument généralement à un renforcement narcissique du patient.
La thérapie méta-cognitive et la thérapie d’exposition permettent d’élaborer une thérapie adaptée avec des bases théoriques solides.
La phobie d'impulsion est un symptôme psychiatrique caractérisé par la crainte obsédante de commettre un acte agressif ou moralement répréhensible. Dans la phobie d’impulsion, elles sont d’ordre sexuel ou agressif. Le plus couramment, la personne a peur de perdre le contrôle d’elle-même et par là, de s’agresser ou d’agresser ses proches. Par exemple, agresser quelqu'un quand on a un couteau en main, pousser un voyageur sous le train si l'on se trouve sur un quai… La phobie d’impulsion peut être vue comme un trouble obsessionnel lié aux méta-cognitions. Ces dernières donnent lieu à des rituels moins caricaturaux que pour les autres TOC et parfois invisibles pour l’entourage. Toutefois ces derniers demeurent malgré la démonstration des évidences et les réalités patentes.
Par ailleurs, la littérature sur le trouble est très rare et date le plus souvent des années 70. Elles occasionnent une introspection permanente. Si tu penses avoir besoin d’aide medicamenteuse va voir un psychiatre, perso j’ai des anxio en cas de « crise » ou un psychologue Bon courage c’est une phobie dont il n’est pas facile de parler :/ Les sentiments éprouvés au cours de la phobie d’impulsion entretiennent le patient dans un état d’alerte et de désarroi permanent.
J’avais déjà entendu parler de la phobie d’impulsion mais n’avais encore jamais approfondi le sujet. "J'ai été diagnostiquée autiste Asperger à 39 ans !"
Toutefois, il existe une multitude de variantes telle que la peur de commettre un acte scandaleux ou dangereux pour soi-même. Elles s’imposent au patient qui entre en lutte contre ces dernières. La phobie d'impulsion est la peur d'agir de manière incontrôlée envers quelqu'un ou envers soi-même.
Il s’agit donc d’un trouble clinique dont le diagnostic différentiel doit avoir été réalisé minutieusement.Une piste d’intervention inspirée de la thérapie méta-cognitive de Wells (3) que j’ai appliquée avec succès dans mes consultations a consisté à aborder par le dialogue socratique et des exercices d’expérimentation, quelles sont la signification et les conséquences des pensées qui sont à la base de la réaction anxieuse.Une bonne façon d’expérimenter les techniques de régulation des ruminations consiste à prescrire de ruminer plusieurs fois par semaine pendant une minute sur une pensée vécue comme problématique (exemple : et si je sautais par la fenêtre) puis de réguler la pensée. Aucun cas de passage à l’acte n’a été rapporté. En outre, selon Pierre Janet, les patients témoignent d’un D’autres formes de thérapie peuvent être envisagées par certains patients mais ne peuvent pas être recommandées par un médecin car elles n’ont pas d’efficacité démontrée ( (1) Des réactions anxieuses sont fréquemment déclenchées par une pensée intrusive verbale et éventuellement visuelle telle que « et si soudainement j’étouffais mon enfant » (2), ou « et si soudainement je tuais ma copine avec ce couteau ».1) Les pensées/jugements/croyances sur les pensées.Il est important de le distinguer des troubles psychotiques où la personne entend des voix extérieures, des dépressions mélancoliques à allure psychotique, de la peur de recommencer des passages à l’acte antérieurs, ou encore de la peur de perdre le contrôle dans des conditions particulières comme l’abus de substance par exemple. Un cas fréquent de phobie d’impulsion est celle rencontrée dans le cadre du Les pensées intrusives sont des images mentales ou des pensées vécues comme désagréables par le sujet. La phobie d’impulsion est une obsession ou une crainte obsédante de commettre un acte agressif, violent et/ou répréhensible, et moralement interdit. Espérons que ce trouble recevra davantage d’attention dans l’avenir proche.