Éric Tabarly apprend qu’il vient alors de remporter sa seconde Transat.Sur les 120 bateaux qui étaient au départ, 40 ont dû abandonner et l’on déplore la disparition de deux coureurs.Pen Duick VI connaît aussi l’école buissonnière dans le Pacifique. Un parcours complet où il faut être le plus rapide à traverser les calmes, profiter des alizés, conserver l’avantage au portant dans les tempêtes.

Ils dansent le Tamouré aux Marquises, jouent au football contre les autochtones des îles Tuamotu et récoltent bananes et noix de coco aux Gambiers. Depuis Contre toute attente, certains le croient même perdu, Pen Duick VI sort de la brume de Newport au petit matin du 23ème jour de course. C’est André Mauric, architecte marseillais spécialiste des bateaux de jauge, et particulièrement attentif au délicat problème de l’équilibre des navires, qui est retenu pour dessiner Pen Duick VI. Si le bateau n’est pas classé, l’équipage de Pen Duick VI a connu des moments exceptionnels.

Rentrant vers l’Europe, Pen Duick VI passe le Cap Horn le 2 mars 1974. Ce fut également le nom de ses différents voiliers, de Pen Duick II à Pen Duick VI, avant l'avènement du sponsoring.Ce nom signifie en breton (la graphie est francisée, l'orthographe correcte étant Penn Duig) « petite tête noire » (pen : tête, du : noir, et ick est la marque du diminutif). Ils ont pour noms Titouan Lamazou, Jean-Louis Etienne, Jean-François Coste, Philippe Poupon, Olivier Petit...En 2009, le ketch est confié à l'Association Eric Tabarly qui en assure l'entretien et organise ses navigations.En juillet 2018, Marie Tabarly reprend son bateau pour réaliser son projet Elemen'Terre.De son départ de la Fastnet, en 1969, pris avec 9 heures de retard à sa participation au 25ème anniversaire de la Nioulargue, en 2006 auprès des autres Pen Duick, retrouvez les grandes dates de Pen Duick VI.Participe avec les autres Pen Duick au 25ème anniversaire de la Nioulargue à Saint Tropez et aux régates Royales de CannesParticipe aux Régates Royales à Cannes puis aux Voiles de Saint Tropez En 1981, pour son troisième tour du monde, c’était un bateau largement dépassé.

n’était pas Eric qui allait mollir alors que c’était le matériel qui nous

Il a traversé quatre fortes dépressions, rebroussé chemin puis continué.

Afin de ménager le repos de l'équipe hors quart (Tabarly organise son équipage en deux bordées), l'habitat de La barre franche de secours, très dure à manœuvrer en raison de la taille du bateau, aurait selon la légende été sculptée en une forme suggestive par Un troisième démâtage pendant la saison 1974 convainc Éric Tabarly et André Mauric d'adopter un mât renforcé, posé sur la quille, au prix d'un alourdissement de plus de 300 Pendant cette course, Tabarly apprend qu’il est impossible de construire le multicoque auquel il pensait pour disputer la Cette Transat à la météo terrible, au cours de laquelle plusieurs favoris feront naufrage et deux concurrents trouveront la mort, sera la plus belle page de gloire de Par la suite, le bateau retrouve son nom et sa coque noire d'origine.

Le sixième Pen Duick est conçu pour les courses régies par les règles de jauge IOR (International Offshore Rule), et en particulier la première Whitbread, course autour du monde disputée en équipage en 1973/74. Dans la Pen Duick III est le voilier d’Éric Tabarly le plus récompensé en courses.

Pourtant, comme le révèle deux traversées d’océan, Rio de Janeiro à Cape Town et Cape Town à Sydney, le grand classe 1 mené à la cravache, montre des performances uniques dans les annales de la course en haute mer.

Dans la nuit du 12 au 13 juin 1998, il y a plus de 20 ans, Eric Tabarly disparaissait en mer. Pourtant, aussi paradoxal que cela puisse paraître, ce grand ketch en aluminium de 22 mètres va connaître la gloire à l’occasion d’une victoire héroïque dans la Transat en solitaire de 1976. deuxième étape (Indien), on a explosé nos neuf spis.

Pour rallier la course autour du monde à Auckland en 78, Tabarly et son équipage traversent le Pacifique au départ de Los Angeles jusqu’à Tahiti. Marie Tabarly a entrepris un voyage autour du monde à bord de Pen Duick VI, l'un des bateaux mythiques de flotte de son père, Eric.

A partir de St-Malo, il continue de faire découvrir l’art de la navigation hauturière dans le monde entier.

A l’occasion de cette année 74, trois bateaux de Tabarly doubleront d’ailleurs le fameux « cap dur ». dévaler les pentes à fond la caisse était réellement impressionnant. "Il était beaucoup Pen Duick toutes voiles dehors.

Avec ses 32 tonnes, son grand mât culminant à 25 mètres, portant des focs de 150 m2 et des spis de 350m2, Pen Duick VI est l’un plus beaux bateaux de course au monde.

Il est conçu pour courir la transat en solitaire de 1968 mais aussi pour les courses en équipage. Une formidable promenade pour ces jeunes équipiers qui découvrent le monde.

Pen Duick VI est un ketch en aluminium de 22 mètres commandé en 1973 par Éric Tabarly [1] pour la Whitbread (course autour du monde en équipage) et dessiné par André Mauric. Pen Duick est le nom du premier bateau d'Éric Tabarly, un cotre à corne, donné par son père.

"Pen Duick VI" à Eric Tabarly, lançé en 1973 Un ketch en aluminium de 22 mètres conçu en 1973 par André Mauric pour la Whitbread (course autour du monde en équipage), dernier de la série de 6 voiliers d'Eric Tabarly, il subit deux démâtages lors de la Whitbread qui l'empêchèrent de montrer son potentiel.

Les voiles d’avant pesaient des

Pour la première fois, Éric et ses équipiers ont tout le loisir d’observer la masse sombre du fameux Cap Horn dont le sommet culmine à 400 mètres et qui passe lentement le long du bord.

De l’avis même du maître des Pen Duick, il s’agit de sa plus belle victoire. Dès les premiers essais, il se révèle particulièrement rapide, puissant et équilibré. Aujourd'hui, il est basé à Lorient.En 1973, époque de la création de la première Whitbread, aucun grand bateau « classique » n’avait encore pénétré les hautes latitudes sud en compétition.

trahissait." Certains deviendront célèbres.