Se répand ainsi une malédiction qui paralyse, qui empêche de faire corps avec ce que l’on est et ce que l’on a (…)“«Personne ne revendique le droit d'être soi-même.

"Chez soi" de Mona Chollet est une ode aux casaniers, et une excuse autant qu'une motivation à rester dans sa maison et à l'aménager pour s'y sentir bien. Dans l'ardeur que l'on met à se blottir chez soi ou à rêver de l'habitation idéale s'exprime ce qu'il nous reste de vitalité, de foi en l'avenir. But to believe it, you would have to forget everything. Mona Chollet takes us on a journey about how time and space have been transfigured, even disfigured, in today's ultra-productive society, while promoting an … By refining habits, we tirelessly reaffirm our conception of a good life, we cultivate our roots and our ties, we respect the impermanence of things , adversity, separation, dispossession “, analyzes the author, who sees in the home and homebody singularities” endowed with a capacity of wonder constantly renewed in front of an immutable decor “.“There is more in heaven and on earth, Horatio, than your philosophy can dream of,” reminds us. Quelle bénédiction que ce livre!

Je n'ai lu que les 130 premières pages, après, je me suis lassée. To also rethink, all these injunctions that we get and that prevents us from understanding our own inner wealth.

Who would dare to refuse an invitation by explaining with ease that he is better at home? Au détour des nombreuses métamorphoses anthropologiques, sociologiques, et utilitaires du foyer, Chollet décrit comment ce lieu a évolué au fur et à mesure des années et comment ses occupants se l'approprient.J'ai plutôt bien aimé ce livre. J'Un livre très bien écrit qui bouscule un certain nombre de clichés et analyse avec brio nos envies d'espace. A remédier. J'ai moins été portée sur les sujets économiques, politiques car ça me rend facilement anxieuse. J'ai beaucoup aimé ce livre, mais je … Je travaille chez moi, je passe mon temps dans mon appartement. Mais casanière, oui !

Il donne envie de prendre soin de son chez soi, de l'apprécier d'autant plus pendant ces journées d'hiver froid.

Pourtant au fil des pages j'ai beaucoup appris sur moi, que je ne suis pas seule, et surtout que ce n'est pas grave. Difficultés à trouver un logement abordable, ou à profiter de son chez-soi dans l'état de " famine temporelle " qui nous caractérise. C'était extrêmement intéressant, toujours aussi agréable à lire (même si Chollet est moins cynique dans celui-ci), et documenté avec plein de sources très variés.J'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre, qui traite d'énormément d'aspect sociaux, politiques et esthétiques autour de l'habitat domestique, la manière dont on l'agence, dont on y vit et dont il est perçu socialement.

Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. Elle parle des tâches ménagères, de la vie de couple, des idées que certaines personnes ont eues pour repenser cet espace domestique et de tant d'autres choses qu'on passe d'un sujet à un autre en réalisant petit à petit pourquoi un tel livre est si important : l'espace domestique est au centre deDans son essai sur l'espace domestique, Mona Chollet aborde à peu près tous les sujets qui sont liés à ce thème, et le fait avec l'intelligence et la clarté à laquelle ses autres livres m'ont habituée. De l’insatisfaction et non de la révolte : chez ceux qui auraient toutes les raisons de revendiquer de meilleures conditions matérielles d’existence, ils détruisent ce minimum d’estime de soi sans lequel il n’y a pas de révolte possible.

Pour votre confort de lecture et avec l'accord de son autrice, nous avons exceptionnellement décidé de rendre « Chez soi » accessible dans un format plus lisible et plus agréable que le Lyber. Comme Virginia Woolf réclamait une chambre à soi, Mona Chollet réclame du temps à soi. "Chez soi" de Mona Chollet est une ode aux casaniers, et une excuse autant qu'une motivation à rester dans sa maison et à l'aménager pour s'y sentir bien.
“The essential, for me, is played in everyday life, in the ordinary, and not in its suspension,” concludes the journalist.
“Chez soi” by Mona Chollet, the essential book to (re) read during confinement.

Dans l’ar- deur que l’on met à se blottir chez soi ou à rêver de l’habitation idéale s’exprime ce qu’il nous reste … Mais aussi, dans une époque dure et désorientée, une base arrière où l'on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs.

This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. Ça ne parle pas "que" de maisons/d'intérieur (vous vous en doutez sans doute) mais de féminisme, d'écologie, de politique et de mille autres choses liées à son chez soi, à l'accès à ce dernier, ses formes et ses enjeux.J'ai longtemps été de celles qui changeait d'endroit tout le temps, mais depuis quelques mois je m'enracine : j'ai mon appartement, mon chat, ma cafetière et ma bibliothèque. Paperback. Et on y parle de Thoreau et de Mimi Thorisson, mes 2 idoles du moment (private joke qui ne fera rire que moi lorsque je relirai cette review dans 10 ans ), c’est dire si je suis en phase avec ce livre à l’heure où je change 3 fois de «home » et dLire ce livre c’est ouvrir 1000 portes vers d’autres thèmes, lectures, personnalités, événements... il nourrie ma curiosité tout en élargissant de nouveaux champs, je n’ai pas arrêté d’aller “voir” sur internet de quoi on parlait. Welcome back. Lire ce livre c’est ouvrir 1000 portes vers d’autres thèmes, lectures, personnalités, événements... il nourrie ma curiosité tout en élargissant de nouveaux champs, je n’ai pas arrêté d’aller “voir” sur internet de quoi on parlait. C'est nouveau pour moi, et j'avais peut-être besoin d'y penser.

Un début d'ouvrage très laborieux, j'ai cru ne jamais pouvoir le lire.

Je travaille chez moi, je passe mon temps dans mon appartement.

Au détour des nombreuses métamorphoses anthropologiques, sociologiques, et utilitaires du foyer, Chollet décrit comment ce lieu a évolué au fur et à mesure des années et comment ses occupants se l'approprient.

C'est chaud et confortable, ce qui me déplaît n'y rentre pas.