Ils se sont rencontrés sur les bancs de l'école, à La Sorbonne.
Excellent album sur la suite des aventures de jeunesse de Riad Sattouf. Et que dire de la fin qui nous laisse tout pantelant! Je me suis complètement laissée happer par le tourbillon de la vie de l'auteur et en un rien de temps, je me suis retrouvée à la fin de ce roman graphique. D'anecdotes en souvenirs d'enfance, c'est avec une naïveté déguisée que le petit garçon aux bouclettes blondes évolue parmi ses cousins syriens dont il ne connait pas la langue et qui lui renvoient l'image d'une certaine vision du monde... Je précise que c'est rarissime, d'autant que je suis d'ordinaire friand de ce genre de récit vécu racontant la vie dans d'autres pays / civilisations.
Pas besoin d'un long commentaire, ce récit est juste et bourré de détails.
Sa vie est un véritable roman! Enfin une histoire des arabes vue de l'intérieur. Tout cela fait que, malgré les grands sourires que nous arrache ça et là Sattouf, "l'Arabe du Futur" est un livre aussi déplaisant qu'indiscutablement efficace dans sa narration et ses dessins. J'adorais Pascal Brutal, je trouvait que cela apportait quelques chose de nouveaux a la BD. Rejoignez Babelio pour découvrir vos prochaines lectures J’ai relu les trois premiers volumes de "l’arabe du futur",dont le dernier remonte à 2016 avant de me lancer dans la lecture de cet imposant quatrième opus de 280 pages que j’ai dévoré d’une traite. L'arabe du futur c'est ce que répète le père de Riad quand il est enfant , l'arabe du futur c'est lui qui doit aller à l'école , pour être un digne représentant de son père Décidemment je n'accroche pas du tout ! Une BD qui se laisse lire sans vraiment réellement m'accrocher. Eh bien, on peut répéter tout le bien qu'on pense des dessins à la fois superbes et efficaces (quelle évolution depuis les débuts de Sattouf ! Tous l'univers L'Arabe du futur à la fnac : découvrez tous les produits, les actus et les avis. Les cookies assurent le bon fonctionnement de Babelio. Grâce au Festival de la BD du site Rakuten, j'ai pu recevoir ce dernier tome.Nous découvrons donc le petit Riad dans les prémices de son adolescence. Après un premier tome qui m'avais embarrassé de par ses ambiguités, et un second qui m'avait réconcilié avec le travail autobiographique assez exceptionnel auquel se livre Riad Sattouf, que dire d'un troisième volume qui poursuit dans la droite ligne du précédent ? Riad Sattouf relate et exorcise son traumatisme d'écolier syrien. On me rétorquera sans doute que la vision d'une Bretagne arriérée et superstitieuse prouve que Sattouf a la dent aussi dure avec les Français qu'avec les Arabes, sauf que le déséquilibre est flagrant, et qu'on ne sent aucune tendresse envers cette société syrienne littéralement inhumaine, et que "l'Arabe du Futur" s'apparente du coup plus à un pamphlet politique anti-arabe et anti-musulman qu'à la chronique d'une enfance difficile. Je ne connaissais pas cette série, ce premier tome m'a emballé. Vous aimez ce livre ? Très bon, et qui ne donne pas du tout envie d'aller "visiter" les pays décrits.
C’est un indéniable succès pour son petit éditeur, Allary. Vous pouvez commander les albums de cette série chez nos partenaires suivants :Page générée le 19/08/2020 à 06:25:39 en 0.0529 sec Cela faisait un petit moment déjà que je voulais lire cette série, n'en ayant entendu que du bien et en effet, je n'ai pas été déçue du tout et j'ai même hâte de m'attaquer au second tome (malheureusement, ils n'avaient que les trois premiers à la médiathèque dans laquelle je me suis approvisionnée et où je travaille) mais je vais essayer de me faire prêter le quatrième tome par ma suite (enfin, je n'en suis pas encore là). Riad, un petit blondinet bouclé de 2 ans Bon, il faut reconnaître que le genre autobiographique n'est pas forcément le plus adapté au neuvième art, mais après tout pourquoi pas et il faut bien avouer que Riad Sattouf s'en tire plutôt bien. 5 étoiles sans même réfléchir.
Le petit Riad, alors âgé de 2 ans en 1980, suscitait l'admiration des passants de par sa longue et épaisse chevelure blonde mais, surtout, celle de ses parents, Clémentine, d'origine bretonne, et Abdel-Razak, syrien. Un mot sur le dessin, qui déplaît à certains : il est simple voire naïf mais s'adapte parfaitement au sujet et au ton (il aurait été déplaisant d'avoir un dessin plus réaliste).