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Quelques rares exemples fournis par la documentation témoignent de la présence des femmes dans le domaine professionnel. Elle est sous la tutelle de l'homme : père, frère ou époux. Une inscription retrouvée à Kermanschah, en Iran, concernant l'instauration du culte de la reine Cette inscription est une lettre du roi Antiochos III, ou plus exactement un édit royal (Les femmes à l'époque hellénistique ont très peu de droits juridiques ou politiques. Il faut toutefois souligner la diversité des situations de vie des femmes, car le milieu social à un réel impact à cette époque.
» C'est ainsi que, dans une tablette de loi d'Assur (Irak) vieille de 3000 ans, apparaît la première mention de l'usage du voile féminin.
Si elle est protégée contre le Cependant, la femme jouit à Gortyne d'une autonomie beaucoup plus grande que dans les autres cités. Cependant, des exemples montrent que la pratique existe bien. Il donne lieu à une curieuse forme d'inversion : l'entremetteuse rase le crâne de l'épouse, lui donne des vêtements masculins et la laisse seule sur une paillasse, dans le noir. En effet, les femmes issues des classes sociales supérieures telles que les reines ou les femmes issues de familles notables ont réalisé des actes d'évergétismes. Elles servent à faire des enfants et les élever. Tout d'abord, les femmes devaient constituer un corps pour participer à des fêtes (De plus, les femmes étaient à l'égal des hommes dans la sphère religieuse et devaient remplir des fonctions sacerdotales : chaque cité avait des prêtresses.
Mais avant, les lois n’étaient pas appliquées par les femmes Spartiates qui avaient plus de liberté que les Athéniennes. Les mariages étaient des unions de convenance et non d’amour véritable. Elle peut posséder des biens, qu'ils soient meubles ou immeubles. Les premières sont à la disposition du maître de maison. Elle est libre de disposer de ses biens : ni son mari, si son fils n'ont le droit de les placer en La fille héritière (c'est-à-dire orpheline et sans frères), la Athènes est la principale source d'informations sur les femmes en Grèce. L'époux, au sortir de la Les femmes exercent une forme de contrôle sur leur mariage. En ces temps d'hommes, les femmes sont très peu présentes dans la sphère publique si ce n'est par l'intermédiaire de leurs tuteurs (pères, frères, etc.). Les sources permettent aujourd'hui d'attester d'une présence féminine au sein de la sphère religieuse à l'époque hellénistique. Selon la loi athénienne, elle n'est pas héritière mais « attachée (Les femmes de bonne famille ont pour principal rôle de tenir leur Nous savons peu de choses sur les femmes métèques, hormis le montant de la taxe qui les frappe : le Une minorité est constituée de femmes seules venues quérir fortune à Athènes. L’Antiquité est présente à de multiples niveaux dans la production romanesque de la femme de lettres grecque Rhéa Galanaki (1947-). Aspasie, fille d'Axioche, naît dans la ville de Milet, en Asie Mineure (actuellement la Turquie), vers 470 av. Un bloc de marbre trouvé à Aspendos concernant la donation accomplie par le démiurge Kourasiô au Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Les plus pauvres finissent souvent comme Sparte se distingue d'entre les autres cités grecques en ce qu'elle place les femmes plus ou moins sur un pied d'égalité avec les hommes : tous sont asservis à l'État et à son but premier, la reproduction de soldats vigoureux et disciplinés. Elle reste toute sa vie sous la dépendance d’ un maître (kurios) qui peut-être son père, son époux ou son fils. Cependant, pour ce qui est de l'activité culturelle, dans toutes les cités grecques, la femme (épouse ou fille légitime de citoyen) se trouve à l'égal des citoyens hommes.
Les femmes dans l'antiquité grecque Pandore justifie l'infériorité de la femme grecque Chez les Grecs de l'Antiquité, le mythe de Pandore n'est pas sans rappeler celui d'Ève dans la Bible. Les conditions de vie des femmes étrangères ou des esclaves étant tout à fait différentes.
En effet, durant cette période, les femmes vont être de plus en plus présentes dans la sphère publique (au niveau religieux, politique, administratif, juridique, dans les arts, etc.). On faisait donc faire aux jeunes filles beaucoup d’ exercices physiques.
Elles les pratiquaient en plein air en compagnie des garçons souvent peu vêtus, ce qui choquait beaucoup les Athéniens.La femme n’a pas un rôle important, elle est considérée comme un instrument de procréation (comme des animaux).
Dans la seconde optique, le mariage prend place plus tard que dans les autres cités : le mari a environ 30 ans et sa femme, environ 18.