Focus sur l’aïkido, un des arts martiaux doux particulièrement indiqué pour gagner confiance en soi. Je suis très intéressé par tous les choix de O Sensei par rapport au Daito-ryu car je crois que c’est sur cette brèche entre les deux arts que se situe sa pensé. Emerson rentre à Oxford à 14 ans. Je me demandais donc si vous aviez des sources écrites au sujet des dires que vous rapportez car je voudrais bien en apprendre plus sur le contexte dans lequel ces choses ont été dites/développées. Mais avant de vous parler de Tout ça pour vous dire que ça n’arrive pas qu’aux autres, tout le monde peut être confronté un jour ou l’autre à C’est vrai et je suis persuadé qu’en cas de problème le Karaté vous sera très utile mais si vous n’avez pas acquit certains gestes de Avec le karaté moderne enseigné dans la plupart des dojos, on vous Franchement les vidéos sont de très bonne qualité et très bien expliquées avec des détails précis sur chaque technique.Si vous pensez qu’il est important d’apprendre à se défendre je vous conseille d’essayer Voilà, j’espère sincèrement que la méthode Agression-Défense vous plaira autant qu’à moi et que cet article vous à plu.Après votre commande, il vous suffit de m’envoyer un mail et je vous créerai unErreur de frappe ; j’ai 56 ans et non 59 et le sabre dont je parle concerne l’avant-bras et les tranchants interne et externe de la main.En karate, c’est très dangereux, une erreur de frappe Bonjour Bruno , je suis bien content pour toi que tu fasses de ta passion ton nouveau métier . Je ne vais pas faire ici un exposé, ce n’est ni mon intention ni mon bon plaisir, mais en gros, ce qu’on appelle « Sankyo » en Aïkido est, en Daïto-Ryu, un ensemble de mouvements tous axés autour des mêmes principes, comme respectivement et par exemple ce qui concerne les mouvements en Ikkyo, en Nikkyo, ou en Yonkkyo, Gokyo, puisqu’ils forment justement la trame socle, catégorielle et originelle du Daito-Ryu !
Il existe évidemment d’autres formes de shihonage, dans ikkajo et ailleurs, qui exécutent un déséquilibre arrière mais il est à mon avis dangereux de penser qu’il y avait une seule forme, et qu’O Sensei est passe a une autre. En ce qui concerne le cursus d’armes d’Iwama, n’ayant étudié avec des gens issus de cette école que pendant un an, je suis très largement ignorant des parti-pris des exercices de cette école sur la durée.Il y a un point sur lequel je m’interroge cependant lorsque vous dites: « Il est à noter, que dans l’esprit d’OS, les techniques de base comme sankyo ou shiho nage étaient considérées comme des techniques de renforcement et non pas comme des applications (témoignages concordants de Noro sensei et de Saito sensei). Selon les cas, la direction est montrée par le pouce, l’index, ou bien l’auriculaire, ce qui permet tout autant d’illustrer la bonne direction que de faire en sorte que le transfert de force s’effectue dans une ligne continue sans dispersion due à une articulation mal placée.
Ainsi, shihonage, kotegaeshi ou iriminage comme tenchinage visent à reproduire le même déséquilibre d’uke si l’on prend comme référence non plus la gestuelle de tori mais la mode de déséquilibre et le résultat sur uke. Pourquoi supprimer l’aspect application? (^_^).Bonjour Olivier, le temps passe vite n’est-ce pas (^_^). » (sinon eh bien ça part dans tous les sens), ou : « Pourquoi ne regardez-vous pas dans cette direction plutôt », ou : « Essayez donc de penser ceci ou cela, de faire comme ci ou comme ça ». Et pour plusieurs raisons. S’ils servent de base technique à l’apprentissage du maniement des armes, ils servent aussi à lier le mouvement du corps et des pieds avec les mouvements des bras suivant le rythme de la marche namba dans laquelle il n’y a pas de rotation de ceinture lors des déplacements mais une avancée alternée du demi corps droit puis du demi corps gauche et ainsi de suite.La pratique des suburi permet de renforcer la saisie mais aussi de muscler l’ensemble du corps et de renforcer les systèmes aponévrotiques lors de la phase d’arrêt de l’arme et notamment celui du dos. Mais pas n’importe lequel. Communauté des éditeurs(rices), chercheurs et spécialistes
La question est, combien de temps avant que ces termes pénètrent les cursus officiels d’enseignement dans les fédérations?J’imagine d’ailleurs la tète de Chiba Sensei si on lui demandais la prochaine fois « maître, pourriez vous nous montrer des techniques internes aujourd’hui? Un dicton dit même que 100 pas à l’envers sont équivalents à 1000 pas à l’endroit. Il en est de même pour la self défense. » En ce qui me concerne, j’ai appris à me battre,,,,en lisant Bob Morane, et il n’y avait pas d’images ! Et pourquoi aime-t-on s’y retrouver?
Je pense donc que l’époque Iwama, aussi importante soit-elle, n’est qu’une évolution entre l’aïkido d’O Sensei avant guerre avec l’aïkido d’après-guerre.Pour exemple que vous citez shihonage ; le shihonage Daito-ryu de Ikkajo projette en fait bel et bien sur l’avant, et pas sur l’arrière. Le Misogi est donc une voie de garage pour ce qui concerne ces techniques (fort nombreuses au demeurant) parce que le Misogi travaille en effet sur d’autres plans (concentration attention, conscience, centrage au corps, efforts vitaux, etc.). Là dessus s’est rajouté son caractère à la fois ingénieux et chamanisme (Omoto-Kyo entre autre) qui lui a fait « inventer » l’Aïkido, ce à quoi n’avait jamais pensé Takeda. Rien ne vaut le dojo ou le ring ! Pour le combat à main nu, ne vaut-il pas mieux faire tout sauf de l’aïkido ?
Comme l’anatomie de chacun diffère sensiblement, si les principes généraux restent les mêmes, les amplitudes et les angles étant individuels, c’est à chacun de trouver comment se servir ensuite de sa propre anatomie suivant ses caractéristiques d’amplitudes et d’angles (une personne lordosée n’a pas les mêmes angles pelviens, coxo-fémoraux et rachidiens qu’une personne à dos plat et les modes de fonctionnement diffèrent quelque peu).Avec des années de pratique à deux, cela peut aller très loin car on acquière la mémoire de la sensibilité de notre propre corps mais aussi du corps de « l’autre » comme s’il était présent etEnfin, de mon expérience de bientôt quarante ans de pratique, je pense que l’étude seul fait partie intégrante de l’étude de tout art que l’on soit pratiquant d’art martial, musicien ou peintre.